Résilience alimentaire, mobilisation citoyenne et radicalité

La question brûlante
Quelle place et rôle de la société civile dans la résilience alimentaire, notamment sur la question foncière ?
Premières pistes pour agir et transformer Le choix de chacun de s’investir dans des actions de désobéissance civile : pacifisme non violent actif (exemple : les faucheurs d’OGM)
Afin de mobiliser les élus sur les enjeux agricoles et alimentaires, il faut sensibiliser l’électorat.
Mettre en place des actions qui montrent les solutions (plutôt que seulement dénoncer)
Faire des ponts avec la recherche pour identifier des solutions
Renforcer la convergence entre les acteurs, se mettre en réseau
Voir l’exode urbain (renforcé par la covid ?) comme une opportunité : l’arrivée d’une nouvelle profession agricole, développant des méthodes de production alternatives
Avoir une présence citoyenne au sein des instances dans lesquelles sont définis les documents d’urbanisme
Accompagner les collectivités territoriales dans la définition d’une compétence alimentaire
Attirer l’attention des acteurs politiques sur la question foncière, qui est l’objet central d’une transition agricole/alimentaire
Renforcer l’acquisition foncière par les communes afin de créer progressivement des alternatives à la propriété individuelle transmissible
Creuser la piste des « offices fonciers » proposés par Edgar Pisani
En tant que société civile, faire du lobbying auprès des collectivités territoriales
Avoir une veille foncière active
Travailler à la redéfinition du foncier comme bien commun
Faire contre poids face au lobbys traditionnels de l’agriculture
Région de l'îlot
Nouvelle-Aquitaine
Ville représentant la géolocalisation de l'îlot
Arcachon